Christelle Firework

Réalité future projetée - Gary Douglas

Réalité future projetée – Gary Douglas

La plupart des gens n’ont pas l’idée qu’ils ont le choix infini. On nous dit de créer la réalité future en nous basant sur le menu de non-choix qui nous est donné par les parents, les amis et les autres personnes de notre vie. Avez-vous déjà demandé à quelqu’un de vous dire: «Eh bien, vous avez fait votre lit, maintenant vous devez vous allonger»? C’est une projection et un jugement sur la façon dont vous devez créer votre vie – une réalité future projetée – et rien à voir avec ce qui est réellement disponible pour vous. «Je dois être ou je dois faire», est une réalité future projetée. C’est l’idée qu’une fois que vous avez décidé de ce que vous devez être ou que vous faites, votre réalité est concrétisée pour tout votre avenir. Vous essayez de conclure plutôt que de vous poser la question de créer une plus grande possibilité pour vous. « J’ai choisi, alors je dois le faire » est également une réalité future projetée. Il ne vit pas dans le moment de créer le meilleur résultat pour vous, il élimine l’avenir que vous pourriez avoir en faveur d’une projection limitée. Et si vous créiez votre vie pour le plaisir, et non la douleur et la souffrance? Si vous voulez créer une vie qui fonctionne réellement pour vous, vous devez vous demander: «Qu’est-ce que j’aimerais vraiment avoir comme vie? Où voudrais-je vivre ma vie? »Non,« Où doit-il être et que dois-je faire? » Presque tout le monde a une réalité future projetée sur la planète. Les gens qui pratiquent des pulsions écologiques, sauvent les baleines ou s’accrochent aux arbres le font du point de vue que cela va sauver la terre. Mais ils ne regardent pas les choses qui ne sont pas utiles. Ils ont un point de vue fixe selon lequel il y a un bon chemin et c’est ainsi que la terre doit être sauvée. Est-ce une question ou une conclusion? C’est la conclusion totale. Ils ne regardent pas ce qui va devoir changer pour que la planète prospère. Avec tout le dumping qu’ils font à Fukushima, combien de temps allez-vous pouvoir manger des poissons et des fruits de mer? Combien de temps faudra-t-il pour que les niveaux de radiation dans les poissons et les fruits de mer atteignent le point où ils deviennent cancérigènes? En ce moment, nous avons toutes sortes de réalités et de fantasmes sur la façon dont tout cela va marcher. Je vois que la terre a un moyen de s’équilibrer et de prendre soin d’elle-même. Je sais que peu importe combien l’humanité essaie de le détruire, il va d’abord se détruire. Rien ne change dans l’humanité. Ils s’entretuent depuis des milliers d’années. L’humanité va continuer à faire ce qu’il fait jusqu’à ce qu’il cesse de faire ce qu’il fait. Qu’est-ce que tu vas devoir être différent que tu ne sois pas qui changerait tout ça? Les solutions proposées par les gouvernements ne sont même pas basées sur des réalités prévisionnelles. Ils sont basés sur des études qu’ils ont faites pour prouver ce qu’ils avaient déjà décidé comme étant vrai. George Bush a fait des études pour prouver que le réchauffement climatique n’existait pas. Il y a encore des gens aux États-Unis qui croient que le réchauffement climatique n’existe pas, selon les études scientifiques de George Bush. Vous pouvez payer n’importe qui pour dire n’importe quoi. Aux États-Unis, vous payez un scientifique, et tout le monde y croit parce que le scientifique l’a dit. Vous avez payé le scientifique pour dire quelque chose, les gens peuvent l’acheter, mais ce n’est pas vrai. Ce sont les endroits où nous créons une réalité future projetée qui ne pourra jamais être. Si vous solidifiez le futur projeté qui ne pourra jamais être, comme si vous travailliez assez fort, vous pouvez le faire exister, vous effacez les possibilités du futur. Je ne fais pas de réalités projetées. Je vais: « Qu’est-ce qui va vraiment se passer ici? » C’est toujours une question, pas une conclusion. Pour avoir une réalité projetée, vous devez faire une conclusion. Pour créer un problème dans votre vie, vous devez conclure. Que se passerait-il si nous n’avions aucune réalité projetée sur la planète? Aucune réalité projetée concernant l’argent, aucune réalité projetée de l’économie, aucune réalité projetée concernant le consumérisme? Vous créez l’avenir du monde par les lieux où vous créez une réalité future projetée. Quel avenir serait disponible pour vous et pour la planète si vous aviez abandonné vos projections en faveur d’une question qui créait une possibilité différente? Par Gary Douglas

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Trouver l’énergie en toi – Dr Dain Heer

Trouver l’énergie en toi – Dr Dain Heer

Trouver l’énergie en toi, c’est reconnaitre qui nous sommes pour ce que nous sommes sans nous amoindrir perpétuellement ni nous juger par des points de vue erronés. Si personne ne vous enseigne comment être, comment pouvez-vous prendre conscience de ce que c’est d’être vous? Une chose qui peut aider est de chercher des moments dans le passé lorsque vous avez choisi d’être vraiment vous. C’étaient des moments où vous n’aviez aucune pensée, aucun jugement, une paix totale et une joie d’être juste, sans aucun point de vue. Oh oui, vous avez probablement aussi eu un sentiment d’exubérance et de possibilité. C’étaient les moments où vous étiez vous. Laissez-moi vous donner un exemple de ma vie qui peut aider: Un an, je me suis porté volontaire pour participer au California AIDS Ride. Il s’agit d’un trajet de 600 miles en vélo au cours d’une semaine et vous montez de San Francisco à Los Angeles. La raison pour laquelle je me suis porté volontaire pour cet incroyable événement est que l’année précédente, lors de ma dernière année au collège chiropratique, je me suis portée volontaire comme étudiant chiropraticien pour traiter les coureurs pour le même événement. Tout l’argent récolté par les coureurs a été consacré à des services destinés aux personnes atteintes du VIH ou du SIDA. Nous étions ceux qui aidaient les coureurs à passer la semaine. En tant que bénévoles de la chiropratique, nous étions en première ligne, traitant les cavaliers désespérément qui avaient besoin de nos services. Plusieurs fois au cours de cette semaine, j’ai été mis en larmes par le courage des coureurs que j’ai eu la chance de traiter. Il y avait des grand-mères, des grands-pères, des frères, des sœurs, des amants, des parents et des amis, car leurs proches avaient le VIH ou mouraient du sida. Il y avait des personnes séropositives qui circulaient pour dire la maladie: «Vous ne me possédez pas! Vous pouvez éventuellement me tuer, mais pas aujourd’hui et pas sans combattre! ». Le courage que ces gens ont eu, leur manque de jugement et le sens de la communion que nous avons tous partagés m’inspirent aujourd’hui. Ce trajet était le seul endroit où j’avais été, où il y avait un grand groupe de personnes, et personne ne jugeait les autres. C’est l’une des premières fois que j’ai pu constater que tout le monde était là pour aider et responsabiliser tout le monde. Il y avait une grandeur que je percevais possible à cet égard et je me suis dit: «Vous savez quoi, je dois y contribuer. L’année prochaine, je vais faire cette foutue chose! Même si je n’avais pas fait de vélo depuis que j’avais 16 ans, j’ai demandé à ce que je prenne un vélo et à apprendre à le conduire. J’ai acheté un vélo chez un autre étudiant en chiropractie qui était un ancien coureur. Et j’ai commencé très lentement au début et je me suis entraîné pendant plusieurs mois. J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour amasser les 2 500 $ nécessaires pour rouler, et des gens incroyablement généreux m’ont fait un don pour que je puisse poursuivre ce rêve. Enfin, après des mois de préparation, de collecte de fonds et d’apprentissage du vélo, j’étais sur la route! Je circulais aux côtés de personnes qui n’auraient pas dû être capables de faire du vélo 600 milles plus tôt – et ils étaient là-bas parce que cela comptait beaucoup pour eux. Comme l’année précédente, le voyage a ouvert mon être à une toute nouvelle prise de conscience de ce que nous, en tant que personnes travaillant ensemble, sommes capables de faire. Sur les très longues collines, beaucoup de gens se disaient: «Je ne pense pas pouvoir y arriver, je pense que je vais mourir le premier.» Sur beaucoup d’entre eux, je montais la colline et je redescendais , encourageant les gens de l’autre côté de la route, puis je remontais la même colline, toujours en train d’encourager et de crier: «Les cavaliers, vous pouvez le faire! Cette colline ne peut pas vous arrêter! Vous cognez les fesses! Allez cavaliers! Ce fut l’un des premiers moments de ma vie d’adulte que je ne doutais pas que je contribuais à d’autres personnes. Lorsque ces gens ont vu que quelqu’un se souciait d’eux pour les encourager (et qu’ils montaient deux fois sur ces collines incroyablement longues), ils ont eu la force de continuer. Une dame, se souvenant apparemment de mon numéro d’enregistrement et de mon vélo, s’est approchée de moi à un arrêt de repos et m’a dit que si je remontais la colline et encourageais les coureurs, c’était elle qui continuerait à rouler ce jour-là. Elle a dit qu’elle était presque épuisée et elle a demandé de l’aide à Dieu et, 20 minutes plus tard, je suis passé à côté, acclamant comme un fou. Elle a dit qu’elle a ri et a pleuré et a continué. À quel point j’ai pleuré, nous nous sommes embrassés et j’ai réalisé à quel point nous pouvions tous être l’un pour l’autre si nous choisissions de l’être. Dans ce don, je recevais aussi beaucoup de contribution, en même temps, il est difficile de mettre des mots. J’espère donc que vous aurez l’énergie que j’essaie de transmettre. C’est l’un des exemples que j’ai de ma vie de ce que je ressens quand je suis vraiment moi, sans jugement, sans point de vue, mais aussi avec un sentiment d’exubérance et de possibilité. Lorsque je suis monté dans cet événement, en remontant les collines une seconde fois, je ne pouvais plus nier l’énergie de ce que c’était d’être moi. Combien d’énergie avez-vous utilisé contre vous pour nier l’énergie de ce que c’est vraiment d’être vous? Tout ce qui est, allez-vous détruire et décréer tout ce qui vous plait et réclamer et reconnaître à quel point vous êtes vraiment incroyable? Right and wrong, good and bad, POD et POC, All Nine, Shorts, Boys et Beyonds ™. Merci. Cette semaine a changé ma vie et depuis, je

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Comment devenir l'argent Cahier pratique - Livre Access Consciousness

Comment devenir l’argent Cahier pratique – Livre Access Consciousness

Le manuel “Comment devenir l’argent“ est un cahier pratique canalisé par le fondateur d’Access Consciousness™, Gary M. Douglas, pour te donner plus de clarté et d’aisance avec l’argent des étapes simples pour être au clair avec l’argent et commencer à en avoir PLUS ! Et si l’argent était juste un véhicule pour changer le monde ? Et si tu étais prêt à recevoir des montants illimités d’argent ? Comment devenir l’argent Cahier pratique Cliquez sur l’image pour accéder au descriptif du livre: Access vise à te permettre de savoir ce que tu sais et à devenir conscient. Tu est celui qui sait ce qui est bon pour toi. Ce cahier pratique est un outil pratique pour faciliter les points de vue insensés et limités que tu as créés concernant l’argent et pour créer plus d’aisance dans ta vie en travaillant sur le recevoir. Gary Douglas nous propose dans Comment devenir l’argent, cahier pratique de faire le point sur toutes nos croyances attachées à l’argent. Première chose spéciale à propos de ce manuel, c’est le titre : comment devenir l’argent, de prime abord, cela ne signifie rien. C’est en commençant la lecture que l’on commence à comprendre.   Qu’est-ce que l’argent ? Il est au cœur de nos vies. Il est l’instrument de la création et de la transformation par excellence. Le peu ou pas assez d’argent oppresse, compresse, renferme sur soi. Ventre affamé n’a point d’oreille, dit-on. Disposer d’une quantité astronomique d’argent permet d’oeuvrer à d’autres projets, de sortir d’une réalité étriquée, auto-centrée. D’être une contribution pour le monde. A condition d’agir en conscience… Extrait : Comment devenir l’argent – Cahier pratique À partir de la débilitation de l’insécurité financière, vous vous créez vous-mêmes comme petit incapable et pire, sans volonté. Sans volonté de relever le défi d’être qui vous êtes vraiment, parce que vous êtes le pouvoir, vous êtes le contrôle, vous êtes la présence et vous êtes la créativité.Et ces quatre éléments créent votre abondance. Donc devenez-les, utilisez-les chaque jour pour le reste de votre vie ou jusqu’à ce que vous deveniez vous-même. Et nous pouvons ajouter un élément ici et vous pouvez dire : « je suis argent, je suis argent ».

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L’argent n’est pas le problème c’est vous – Livre Access Consciousness

L’argent n’est pas le problème c’est vous – Livre Access Consciousness

Forts de leur expérience à résoudre les problèmes d’argent de milliers de personnes, Gary M. Douglas et Dain Heer présentent dans ce livre des outils pratiques et performants pour changer la façon dont l’argent circule dans votre vie. Selon eux, le problème principal à régler vient de l’incapacité à recevoir. En effet, ce que vous ne pouvez pas recevoir crée une limitation sur ce que vous pourriez avoir. Et si vous changez cela, l’argent ne sera plus un problème ! Ainsi, apprendre à recevoir est la meilleure chose que vous ayez désormais à faire ! Cliquez sur l’image pour accéder au descriptif du livre: La méthode innovante d’Access Consciousness® pour améliorer votre relation à l’argent et favoriser l’abondance dans votre vie, en apprenant à recevoir… Ce livre est un vrai petit miracle. Il va vous aider à développer votre conscience de qui vous êtes réellement, de commencer à vous recevoir; et par la même occasion, recevoir aussi l’argent, dont VOUS, vous êtes coupé jusqu’à présent.         Et si la difficulté constante avec l’argent n’existait pas ? La méthode innovante d’Access Consciousness® pour améliorer votre relation à l’argent et favoriser l’abondance dans votre vie, en apprenant à recevoir… Quelqu’un vous fait un compliment, êtes-vous capable de l’apprécier, de rosir de plaisir ou êtes-vous du style “Oh, mais ce n’est rien, ce n’était pas grand chose…”. Chuut, fermez-là et recevez, savourez bon sang ! La première fois où un inconnu m’a fait un compliment sur ma musique, j’ai pleuré pendant une demi-journée. Quelqu’un vous offre un cadeau, le recevez-vous avec bonheur ou dites-vous “Mais il ne fallait pas, vraiment. Non tu n’aurais pas dû”. Recevez ! Le livre est un ensemble de variations sur ce thèmes, qui nous amène progressivement à prendre conscience de tous ces aspects de notre vie où nous nous coupons du recevoir…

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Êtes-vous victime d'intimidation ? - Gary Douglas

Êtes-vous victime d’intimidation ? – Gary Douglas

Les insultes et les brimades ne sont efficaces que lorsque l’intimidateur vous offre un jugement et que vous commencez à vous juger de la même manière. L’intimidation ne fonctionne que lorsque vous donnez votre énergie à l’intimidateur. Êtes-vous victime d’intimidation? Agressif, abusif, menaçant et insultant. La conduite récente de Donald Trump peut être exceptionnelle à plusieurs égards. Il est largement diffusé et se joue dans le théâtre habituellement sobre de la politique américaine. Mais la recherche montre qu’une grande majorité de personnes (72%) est régulièrement confrontée ou victime de ce type de comportement d’intimidation sur son lieu de travail. Malheureusement, la majorité des cas d’intimidation sur le lieu de travail ne sont résolus que lorsque l’agresseur passe volontairement au combat. Mais je crois qu’il existe des moyens plus efficaces pour faire face à des personnalités difficiles. La première étape essentielle consiste à examiner la situation de manière claire et honnête. Vous pouvez faire plusieurs choses pour faire face aux agressions et aux intimidations au travail. La première chose à faire est de les reconnaître pour ce qu’elles sont. La plupart des gens, quand ils sont en colère ou bouleversés, ont tendance à vouloir résister. Mais si vous posez une barrière, ils continueront à vous marteler en essayant de faire tomber cette barrière. Si, par contre, vous les laissez s’exprimer sans réagir si vous leur retirez leur énergie, ils s’essouffleront et, bientôt, tout sera fait. Vous prenez le contrôle. Voici quelques outils pratiques pour vous aider à garder les intimidateurs à distance: Avoir une allocation – L’allocation est l’endroit où tout est juste un point de vue intéressant. Si vous pouvez comprendre que cette personne n’a pas «raison ou tort», elle a juste un point de vue intéressant, alors vous n’avez rien à faire personnellement. Vous pouvez voir la situation telle qu’elle est. Pratiquer la gratitude – Les insultes et les brimades ne sont efficaces que lorsque l’intimidateur vous offre un jugement et que vous commencez à vous juger de la même manière. La gratitude et le jugement ne peuvent pas coexister. Commencez aujourd’hui en ayant de la gratitude pour ce que vous avez – même si cela semble petit et insignifiant. Choisissez de vivre la vie comme une célébration maintenant, pas quand tout sera réglé. Par Gary Douglas

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Nos mémoires secrètes – Voyage en Psychogénéalogie

Nos mémoires secrètes – Voyage en Psychogénéalogie

Dans les années 70, Anne Ancelin Schützenberger, professeur à l’Université de Nice, développe la théorie de la psychogénéalogie qui est un pont entre la psychologie et la généalogie. Cette théorie a été développée dans un livre intitulé Aïe mes aïeux édité en 1993. On réalise une analyse de chaque membre de sa famille sur plusieurs générations. De plus, on étudie l’histoire familiale ou les mémoires de la famille notamment les traumatismes et secrets de famille qui influencent notre vie inconsciemment. Donc grâce à la  psychogénéalogie, on peut ainsi comprendre ses problèmes actuels… Dans chaque famille il y a des mémoires Ainsi, les évènements vécus par les membres antérieurs laissent des traces au fil des générations.  Celles-ci peuvent se répéter à ce que l’on nomme « les dates anniversaires ». Ce sont généralement des traumatismes, des secrets ou des conflits vécus par les ascendants d’un sujet qui conditionneraient ses troubles psychologiques, ses maladies ou encore ses comportements étrangers inexplicables. La psychogénéalogie se réfère aux données généalogiques et aux impacts psychologiques sur les descendants. Pour comprendre l’ordre généalogique et visualiser sa position dans le système familial et les mémoires rattachées, le dessin de l’arbre généalogique  est indispensable notamment pour voir les liens transgénérationnels. C’est en faisant face aux secrets, aux traumatismes et aux non-dits familiaux que l’individu peut se délivrer de tout ce poids. Nous sommes en effet liés, inconsciemment, à notre famille plus ou moins lointaine. La psychogénéalogie a donc deux objectifs principaux : Faire prendre conscience de nos mécanismes familiaux et des mémoires de cette famille qui habite en nous. Nous aider à nous libérer des emprises familiales qui nous empêchent de vivre selon notre désir. Nos mémoires secrètes – Voyage en Psychogénéalogie Ouvrages sur le même thème   Psychogénéalogie – Les clés du génogramme familial Il est étonnant de constater que de nombreux problèmes se répètent de génération en génération à l’intérieur d’une même famille : difficulté de prospérer financièrement, dépendances de toutes sortes, maladies psychosomatiques, cas d’incestes, de crimes, d’accidents, etc. Tout se passe comme si chaque famille était «génétiquement» aux prises avec certains problèmes récurrents. Comment enrayer ce cercle vicieux entretenu par les secrets de famille? Grâce à cet ouvrage de psychogénéalogie, vous pourrez enfin décoder l’histoire de votre famille. Mais aussi son impact sur votre propre vie. Psychogénéalogie, Relation à l’Argent et Réussite En vous ouvrant à de nouvelles perspectives de vie, ce voyage dans le monde des relations à l’argent induites par votre lignée familiale vous mènera vers la joie de réussir et de partager, dans la plénitude et l’abondance enfin trouvées. Dans un langage clair illustré de très nombreux exemples vécus, chacun des chapitres de cet ouvrage comporte des exercices pratiques destinés à résoudre vos problématiques particulières. Psychogénéalogie et physique quantique Ce livre est destiné à toutes les personnes soucieuses de comprendre le sens de leur vie et d’augmenter leur conscience. Il allie les connaissances anciennes en psychogénéalogie avec la dernière des sciences : la physique quantique. Il a été écrit à quatre mains avec Marc Henry qui milite pour une approche quantique de la nature utilisant l’eau comme vecteur d’information. Des épousailles audacieuses qui vous feront comprendre le pourquoi de certaines répétitions dans votre vie.

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Les Croyances - De l'imaginaire au réel

Les Croyances – De l’imaginaire au réel

Les chromosomes ont de la mémoire et stockent les croyances. Où se trouve donc cette connaissance éternelle immuable ? Je propose de dire qu’elle se trouve dans les chromosomes. Les chromosomes sont les résumés des solutions gagnantes de la vie, celles qui nous ont permis d’évoluer tout au long de l’humanité et d’être là aujourd’hui. Ces connaissances, nous les partageons avec toute l’humanité car nous avons un programme commun qui nous permet de nous construire. Dans ces programmes se trouvent tous nos réflexes de survie.  Toutes ces réactions instinctives. C’est peut-être dans ce programme que les mythes ont vu le jour, ou plutôt les mythes sont inspirés au sens littéral de cette connaissance. Mais en même temps nous sommes tous différents. Comme si nous avions chacun un peu notre programme… Pendant longtemps on a pensé que l’évolution chromosomique se faisait lentement, et de toute façon pas dans l’ordre de grandeur d’une vie. Les pattes avant du kangourou ont mis des milliers de générations avant de devenir ce qu’elles sont.  Très scientifiquement, on sait maintenant que dans le cours d’une vie, nos expériences peuvent s’incorporer aux chromosomes. Par exemple, les informations sont portées par des anticorps, nommés Ig G, qui correspondent au résultat stable et acquis de nos expériences immunitaires. Nous savons maintenant que ces données peuvent s’intégrer dans les chromosomes et seront transmises à notre descendance. Revenons à notre petit enfant qui « sait ». Son savoir est probablement porté par les chromosomes qui le constituent et dont il hérite de ses deux parents.  Cette connaissance est une connaissance de résultat, dans le sens où il sait et a mémorisé ce qui marche. C’est aussi une connaissance finale. Une connaissance qui dit : au vu de ce que toute l’humanité a engrangé avant, cet enfant va être construit comme cela. Dans le début de la vie, le fœtus, puis l’enfant, se trouve confronté à son environnement qui lui est totalement inconnu. Ce qu’il a à l’intérieur de lui, ce sont des modes de fonctionnement, des mémoires et des programmes de solution. Chaque situation de vie est nouvelle. Et c’est ça l’aventure de la vie. Il va chercher à faire correspondre, dans le sens faire un lien, un rapport, entre ce qu’il sait et ce qu’il rencontre.  Face à cet inconnu, et devant la nécessité d’exister, l’enfant va interpréter le monde pour tenter de le stabiliser. Il met en place ses croyances. Prenons l’exemple d’un enfant de trois mois qui pleure dans son lit. – Dans un premier cas ses parents viennent le voir rapidement, il se dit : « la vie est formidable, quand je demande je reçois ». C’est une croyance. Et il va utiliser ce processus toute sa vie. Mais en même temps il pourra penser qu’il n’a pas à se débrouiller seul. Enfin globalement, c’est un optimiste. C’est une croyance fortement génératrice. – Dans un deuxième cas ses parents ne se dérangent pas, soit qu’ils ne sont pas là, soit que dans leurs croyances à eux un enfant doit « se faire les poumons » et que c’est bon pour lui. L’enfant se dit : « quand je demande, je ne reçois pas, dans la vie on doit toujours se débrouiller seul ». C’est sa croyance. Son tempérament sera plutôt pessimiste, mais en même temps il apprend très vite à se débrouiller seul. Éviter la souffrance L’intention positive de la croyance est d’éviter la souffrance et, surtout, une souffrance encore plus forte. Ce qui n’est pas acceptable, ce serait de dire : « on ne vient pas me voir car on ne m’aime pas, je ne vaux rien ». Il vaut mieux se dire : « c’est normal que cela se passe comme cela ».  La croyance évite la souffrance et, ici, protège le principe de l’amour, en attendant des jours meilleurs… Un petit enfant, par exemple, sent vite qu’il déplaît quand il est actif et indépendant, et il sent vite qu’il est aimé quand il est gentil est docile. Celui-ci décide d’être docile pour être aimé. Il pourra même penser qu’au fond il est comme cela. Et il pourra oublier sa vraie nature qui reparlera un jour par des symptômes. Il pourra enfin participer au système en tentant de faire rentrer ses petits frères et sœurs dans le moule. L’enfant va mettre en place tout un système de croyances. La croyance fait partie de l’apprentissage « Je crois que cette chaise peut me porter, et je ne vérifie pas à chaque fois ». Cette croyance est un acquis. Mais une parole peut me donner une croyance négative : « tu fais tomber tout ce que tu touches » et, du coup, je ne serai pas bricoleur. Ces croyances, comme on le voit, ne sont pas toujours vraiment le reflet du réel. Certaines sont génératrices : « je suis bon, on m’aime, je peux arriver à ce que je veux, on tient vraiment compte de moi, je peux faire confiance…». D’autres sont inhibitrices : « je ne vaux rien, je loupe toujours, je dois me méfier, si je dis ce que je pense je risque de ne plus être aimé(e), je fais tomber toutes les choses, je ne serai jamais bricoleur…». Certaines sont réelles et objectives : « le feu brûle, les couteaux coupent…». D’autres, totalement déplacées, sont des projections de craintes des parents qui s’intègrent chez les enfants comme des croyances. L’ancienneté des croyances Les croyances ont de multiples origines. Elles peuvent se mettre en place à toutes périodes de la vie, mais ce sont les plus précoces qui ont les effets les plus dévastateurs, l’empreinte la plus forte. Ronnie Janoff-Bulman pense que celles in-utero nous marquent à vie, mais parallèlement il propose de nombreuses solutions.  Les croyances des enfants peuvent se bâtir dans leur tout jeune âge, même dans l’utérus. Très tôt un enfant ressent s’il est attendu ou pas, si sa mère est gaie et accueille sa vitalité, ou si elle est triste. Une tendance dépressive peut être ressentie comme un véritable abandon

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Citation Gary Douglas - Choisir

La joie des taxes – Gary Douglas

Si vous vous demandez ce que la joie et les taxes font dans la même phrase, lisez la suite! Le mot «taxes» évoque rarement un sentiment de joie. C’est typiquement plus comme un sentiment d’effroi. Mais que se passerait-il si ce n’était pas le cas? Et si il y avait un moyen d’avoir de la facilité et de la joie avec des taxes et même de la gratitude pour tout ce que vous créiez dans votre vie et qui conduisait à payer des impôts? De mon point de vue, le but des taxes est de payer le moins possible tout en payant quelque chose pour que le gouvernement croit que vous les soutenez. Lorsque vous évitez de payer des impôts parce que vous pensez qu’ils sont mauvais, que créez-vous? Plus d’argent ou moins d’argent? Davantage de facilité ou moins de facilité? Plus de joie ou moins de joie? Votre point de vue crée votre réalité. Si vous souhaitez une possibilité différente avec de l’argent et des taxes, vous devez changer votre point de vue. Une façon de faire est de dire: «Point de vue intéressant. J’ai ce point de vue. » Chaque fois que vous remarquez un point de vue sur les taxes (ou autre chose). Ce qui se passe, c’est que vous débloquez tout ce que vous avez décidé comme étant vrai et vrai pour votre point de vue afin que vous puissiez avoir le choix. Quelles questions pourriez-vous poser au lieu de conclure que vous ne voulez pas payer de taxes? Lorsque vous ne voulez pas payer d’impôts, vous créez un avenir où vous ne générez pas assez d’argent pour payer des impôts. Probablement pas votre meilleur choix. Donc, au lieu de garder votre conclusion, posez des questions. Demandez: «Quoi d’autre est possible?» Ou «Comment ça se passe mieux que ça?» Voici quelques autres questions que vous pouvez poser:     Combien de sources de revenus supplémentaires pourriez-vous ajouter à votre vie pour que vous payiez des taxes sans rapport avec votre façon de vivre? Où avez-vous décidé que l’argent vient? Est-ce que ça doit venir d’un travail, de ta famille, de gagner à la loterie? Et si vous aviez tant de sources de revenus générant de l’argent pour vous que payer des taxes n’avait aucune importance? Commencez à demander: «Que puis-je ajouter à ma vie pour créer plus d’argent tout de suite?» Combien de sources de revenus souhaitez-vous ajouter à votre vie? Combien aimeriez-vous vraiment créer? Demandez à l’univers, exigez de vous et voyez ce qui apparaît. Que faudrait-il pour être prêt à payer des montants exorbitants en taxes? (ce qui signifie que vous générez des tonnes d’argent) Seriez-vous prêt à payer des taxes exorbitantes? Si vous ne le souhaitez pas, comment des sommes exorbitantes peuvent-elles vous arriver? Et si vous vous engagiez dans votre vie et que vous viviez à 100%? Que se passe-t-il si vous vous amusez tellement à créer et à gagner autant d’argent que lorsque vous payez vos impôts, vous êtes joyeux et reconnaissant? Continuez à poser des questions. Choisissez la gratitude. Demander plus. Quelle énergie, quel espace et quelle conscience pouvez-vous et votre corps avoir plus d’argent que de dieu avec une facilité totale?   La joie des taxes Par Gary Douglas Bibliographie de Gary M. Douglas & Dain C. Heer (Fondateurs Access Consciousness) Cliquez sur l’image pour découvrir leurs ouvrages

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Clés pour créer un futur - Gary Douglas

Clés pour créer un futur – Gary Douglas

Quel est le produit précieux dans votre vie? Qu’est-ce que vous appréciez plus: Le passé, le présent ou le futur? La plupart des gens apprécient le passé et ce qu’ils peuvent avoir maintenant plus que ce qui peut être créé pour l’avenir. Mais si vous n’appréciez pas l’avenir, vous ne créerez jamais l’avenir que vous désirez. Voici quatre clés pour créer un futur 1. Gratitude Être reconnaissant pour tout et chacun est un élément clé pour créer un avenir. Si vous n’êtes pas reconnaissant pour ce que vous avez aujourd’hui, vous ne créerez jamais un avenir. Si vous avez de la gratitude, vous pouvez créer un avenir, si vous ne le faites pas, vous détruisez tout sauf maintenant. Vous vivez le moment présent, vous ne vivez pas dans le moment présent et créez un avenir. Vivre le moment est génial, mais vous devez aussi être prêt à créer un avenir. Il y a une cohérence dans la reconnaissance de l’avenir. Si vous n’avez aucune gratitude pour votre corps, vous ne créerez pas un avenir qui a un corps en elle. C’est ce qui tue la planète. Les gens n’ont pas de gratitude pour leur corps, ils ne peuvent donc pas créer un corps qui puisse être reconnaissant. Ils doivent trouver un moyen de se tuer et ils le trouveront. Si vous arrêtez de faire référence à ce que votre corps était dans le passé, et commencez à le créer à partir de ce qu’il peut être aujourd’hui, alors vous pouvez laisser toutes les choses du passé partir. Si vous continuez à chercher ce que c’était, vous allez vous embourber. Il n’y a pas de passé. Choisissez pour le moment présent. Lorsque vous avez de la gratitude dans votre vie, alors vous pouvez créer un futur. Vous ne pouvez pas créer un avenir sans gratitude. Soyez reconnaissant pour tout dans votre vie et demandez: «Quelle gratitude puis-je avoir qui créera le futur que je désire? 2. L’enthousiasme ne crée pas de futur Les gens ont l’illusion que ce qui les enthousiasme, ce pour quoi ils ont des enthousiasmes, créera leur futur. Ce n’est en fait pas vrai. L’enthousiasme crée juste pour aujourd’hui. L’enthousiasme est ce que vous faites pour le moment. Lorsque vous faites de l’enthousiasme, c’est pour vous exciter à propos de ce qui se passe maintenant parce que c’est finalement ce que vous avez créé du passé qui se manifeste. Je regarde toujours ce que j’ai créé dans le passé et ce que je crée pour le futur. Je regarde le passé et je suis reconnaissant d’avoir demandé ce que j’avais demandé il y a vingt ans et qu’il se présentait maintenant. Il m’a fallu 20 ans pour l’obtenir, ça craint? Non, je suis content que ce soit finalement arrivé. C’est génial! 3. Attendre pour plus de commodité vous arrêtera Si vous attendez ce qui vous convient, vous ne créerez jamais votre avenir. La commodité est la seule façon d’éliminer toutes les possibilités futures. Lorsque vous faites ce qui vous convient, vous ne vous engagez pas réellement pour votre avenir. Cela signifie qu’il n’a aucune valeur réelle pour vous. Il a seulement une valeur commode. C’est comme la vérité qui dérange. Personne ne voulait écouter Al Gore et il parlait de créer un avenir. 4. Être prêt à changer Les gens aiment la similitude, ils n’aiment pas le changement. Le changement est la seule chose qui va vous donner la possibilité de créer le futur. Je suis le changement qui créera l’avenir parce que je suis plus intéressé par la création d’un avenir plus vaste, et pas seulement par la création d’argent. L’argent n’est pas si important pour moi. Je peux obtenir de l’argent autrement. Si nous voulons survivre, nous devons changer notre façon de voir les choses. Si nous voulons créer un monde dans lequel il y a plus, nous devons regarder les choses différemment. Tant que cela ne deviendra pas une réalité, ce monde va mourir. L’accès consiste à changer le monde pour qu’il soit meilleur, et non pas à vous sentir bien. Un avenir différent est possible. La question est: le choisiras-tu? Par Gary Douglas

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Hétéronomie morale vs Autonomie

Hétéronomie morale vs Autonomie

Être autonome dans la philosophie morale d’Emmanuel Kant, est le fait de se donner à soi-même sa propre loi. L’autonomie s’oppose donc à l’hétéronomie. Celle-ci renvoie à une loi extérieure ou transcendante, et à l’anarchie qui caractérise le refus de toute loi. Cependant l’autonomie est la notion fondamentale de la morale de Kant. Lorsqu’un individu agit sans principes, c’est qu’il n’a point de scrupules (anarchie morale). Lorsque la loi lui est imposée du dehors, la conduite droite n’a aucune valeur morale. L’individu ne fait qu’obéir (hétéronomie morale). C’est seulement lorsque l’individu s’impose à lui-même une loi qu’il agit moralement. En outre, il réalise ainsi sa liberté, qui ne peut se réaliser dans le vide, mais seulement par “l’intermédiaire de la loi”. Ce n’est donc pas lorsque nous croyons être libres que nous le sommes vraiment. La capacité de privilégier tel ou tel désir serait plutôt le signe de notre soumission. D’où savons-nous que ce désir est le « nôtre », et qu’il exprimera pleinement notre personnalité ? Rousseau le notait déjà en introduisant pour la première fois l’idée d’autonomie : « l’impulsion du seul appétit est esclavage et l’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté ». En suivant aveuglément un désir, on ne cesse pas de se soumettre. Rien ne garantit, que ce désir n’est pas la voix de l’autre en nous. C’est bien souvent la société qui parle à travers les objets que nous imaginons avoir élus. Kant appelle « hétéronomie » ce régime du faux choix où le sujet, tout en continuant à croire être indépendant, est renvoyé de désir en désir. L’homme n’est pas libre tant qu’il est soumis à la loi de l’autre La faculté d’être autonome désigne la « propriété qu’a la volonté d’être à elle-même sa loi ». Là se situe le nœud des incompréhensions. Cependant Kant ne dit nullement que l’individu doit ériger par lui-même une loi qui vaut pour le monde. Ce serait plutôt la définition du mal que celle de l’autonomie. Pour que la loi que la volonté se donne à elle-même soit morale, elle doit valoir pour tous. En sorte que cette loi, en même temps qu’il la produit, est celle à laquelle le sujet doit se soumettre. Plus précisément, elle émane du sujet seulement en tant qu’il est un sujet universel doué d’une raison pratique qui l’enjoint de subordonner ses maximes (c’est-à-dire ses règles individuelles d’action) au critère de l’universel. La philosophie kantienne est autant une pensée de la libération qu’une exaltation de la liberté. Elle nous invite simplement à rechercher en nous-mêmes les raisons d’une aliénation que nous recherchons dehors. Il s’agit d’une morale de la responsabilité, mais d’une responsabilité sans culpabilité. Même si elle est affectée par un « penchant au mal », la liberté humaine demeure définie par la « disposition au bien ». De ce fait, l’autonomie ne désigne pas seulement un principe, mais, aussi paradoxal que cela semble, le seul chemin qui mène à elle-même. Être livre ne se négocie pas : on apprend à être libre par l’usage de sa volonté. Ouvrages de Emmanuel Kant Critique de la raison pure La Critique de la raison pure ouvrait la voie, non à une destruction périlleuse de la raison, mais à sa transformation postmétaphysique. En ce sens, elle continue d’offrir à la modernité philosophique un autre destin que celui qui la conduisait vers l’affrontement stérile de la spéculation et de sa simple dénégation. >>>Voir le livre   Critique de la raison pratique La loi morale est sainte (inviolable). L’homme est sans doute très éloigné de la sainteté, mais il faut que l’humanité dans sa personne soit sainte pour lui. Dans la création tout entière, tout ce que l’on veut, et ce sur quoi on a quelque pouvoir, peut aussi être employé simplement comme moyen ; l’homme seul, et avec lui toute créature raisonnable, est fin en soi-même. >>>Voir le livre     Critique de la faculté de juger Longtemps sous-évalué dans la tradition exégétique, la Critique de la faculté de juger (1790) réapparaît aujourd hui, au fil du libre dialogue entretenu avec elle par une série de philosophes contemporains, pour ce qu elle est vraiment : le couronnement du criticisme en même temps que l un des plus profonds ouvrages auxquels la réflexion philosophique a donné naissance. >>>Voir le livre

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