Anarchie, rébellions, révoltes contre les lois collectives, dans ce monde « le mal » ressemble étrangement à l’affirmation de la liberté individuelle. Le refus de tout grégarisme, de tout collectivisme, de toutes les lobotomies sociales est désormais considérée comme « mal » par la collectivité abrutissante et cette pensée induite de façon collective.
Désormais ne plus respecter des règles insoutenables, idiotes et anti-vie se révèle être un délit puni de sanctions par les exécutants fonctionnaires du pouvoir en place. Les fervents demandeurs de véritables libertés se retrouvent maltraités par leurs propres frères au bénéfice du malin.
Notre liberté individuelle a été tronquée au profit de l’instinct grégaire pour ne correspondre qu’à une pseudo-liberté qui ne sera jamais une liberté. Cependant, le mot liberté ne s’entendrait seulement dans un ton susurré et surtout mensonger. Et c’est à cet endroit que le malin a piqué avec son venin sous guise de socialisme.
Liberté individuelle contre pouvoir en place
Le « mal » dans cette société est tout ce qui va à l’encontre du pouvoir en place. Ce « mal » prône la liberté individuelle de l’être contre la pensée collective conditionnée dominante et malsaine. Désormais la puissance de l’éthique personnelle ainsi que de l’être dans sa vérité se retrouve en adversité face à la croyance sociale déversée par le pouvoir en place. Mais ce « mal » (liberté individuelle) exige de se comporter d’une façon différente que le standard, les législations liberticides et le conditionnement l’exigent.
Reprendre son pouvoir pour ne plus le céder au malin
Ce « mal » nous incite à reprendre notre pouvoir. Il nous incite également à vivre dans la bienveillance vis-à-vis de notre prochain sans être esclave d’une forme pensée. Un idéal où nous devons sortir de nos prisons mentales. Cette liberté est nécessaire à l’être humain souverain suprême pour vivre en accord avec lui-même.
Ce qui était mal avant, ne l’est plus désormais. Le concept de la pensée unique est un point de vue limité et limitant. Le pouvoir en place a mis le monde à sac, à l’envers et surtout à genoux. Le malin est un opportuniste. Il crée des circonstances afin de proposer des solutions pour conserver le pouvoir qu’il a subtilisé aux êtres en incarnation sur Terre.
Il est alors grand tant de se regarder en face et de ne plus se voiler la face. Et maintenant si nous reprenions simplement notre pouvoir ensemble dans la joie ?
Le Diable en latin signifie : diabolus. Issu du grec διάβολος / diábolos. Ce terme désigne «celui qui divise» ou «qui désunit» ou encore «trompeur, calomniateur».