La Physique quantique nous dit que la réalité. Ce que l’on perçoit comme un monde de matérialisation, n’est pas constituée de matière mais de vibrations qui échappent au temps et à l’espace.
Existerait-il dans notre cerveau des zones capables de percevoir ce monde quantique? Et, par là même, les esprits immatériels des défunts ?
Des chercheurs, comme l’Américain Stuart Hameroff, le supposent après la découverte de possibles échanges s’opérant au niveau des synapses. Ges zones par lesquelles les communications s’établissent entre les neurones. Si notre cerveau peut détecter des vibrations quantiques, c’est sans doute à ce niveau que les médiums captent les défunts. Hameroff n’en est encore qu’aux hypothèses. »
Au vu des expériences rapportées dans le monde entier, nous pouvons supposer que les champs d’informations de notre conscience ont leur source dans un monde invisible au-delà du temps et de l’espace. Dans mon idée, la conscience n’est pas physiquement ancrée, elle est non locale , partage-t-il dans l’enquête de Leslie Kean.
Ses conclusions corroborent celles du chercheur Emmanuel Ransford, spécialiste de physique quantique. Selon Emmanuel Ransford, il existerait une grande toile suprale, sorte de double invisible de notre univers visible, dans laquelle résiderait notre métaconscience et où toutes les métaconsciences seraient reliées entre elles. Selon lui, les données captées par les médiums proviendraient de cette grande toile où elles sont archivées.
« Quand le cerveau s’arrête, comme un poste de télé ou une radio, les ondes de notre conscience demeurent, poursuit Pim van Lommel. En d’autres termes, nous avons un corps mais nous sommes conscience, et celle-ci n’a ni commencement ni fin. »
Ainsi, pour ces éminents scientifiques la mort ne serait pas notre fin, elle sonnerait simplement notre passage ou notre retour vers une dimension plus élevée. Et d’après leurs recherches, il ne s’agirait pas d’une quelconque fusion impersonnelle dans un grand bain de conscience universelle. Mais bel et bien d’une survivance individuelle, dans laquelle notre personnalité, avec ses traits distincts et ses souvenirs, serait conservée.
« Par-delà la mort du corps, notre métaconscience crée une forme de survivance psychique propre à chacun d’entre nous. Elle est ce petit bout d’âme qui nous appartient et qui se fond dans l’âme globale du monde pour l’éternité… ou presque », reprend Emmanuel Ransford. »
Extrait de Les preuves de l’après-vie – https://www.inrees.com/