Le Tore est la forme/principe fondamental de toute création. En son sein, nous trouvons la genèse de toutes les forces qui interagissent au sein de l’univers. Du côté manifeste du flux toroïdal, nous trouvons toutes les interactions fondamentales entre la source du point zéro et toute matière de création de source.
Le champ toroïdal et l’interaction d’un plan d’inertie sont le principe fondamental de toute création manifeste en son cœur. En son cœur, le tore est un vortex. Il possède une médiation superimbriquée de gradient de pression qui se manifeste par une dynamique de flux mais aussi de champ.
Le Tore a une inversion hyperdimensionnelle non manifestée dans un « contre-espace »
Nous pouvons choisir d’accepter ou non. Mais cela ne sera jamais prouvé ou réfuté, car c’est l’état divin du non-manifesté. C’est aussi le plus grand secret de l’univers caché à jamais dans les mouvements du monde énergétique manifesté.
La composante contre-spatiale du Tore entraîne ses flux manifestes et son vortex. Entre le spatial et le contre-spatial se trouve le plan inertiel. Les forces de champ centripèdes résultent de l’hyper-accélération du point zéro dans le processus d’effondrement/inversion dimensionnel en diélectriques purs avec une vitesse infinie au niveau du vide contre-spatial.
L ‘«encapsulation» spatiale du tore est la divergence magnétique du champ diélectrique principal de toute énergie, ou le flux convergent de tout, retournant au plan inertiel, et de là retournant dans le vide infini de l’éther contre-spatial à travers son effondrement dimensionnel et inversion. L’incommensurabilité de ces deux principes conjugués premiers – la divergence du champ magnétique et la convergence diélectrique, forme un gradient de limites de pression externe et interne. L’opérabilité du champ et l’espace est donc le champ magnéto-diélectrique qui se médiatise vers l’extérieur dans le manifeste.
C’est la racine de notre univers et la base de la création de particules de masse spatiale
La médiation de la pression est la manifestation de la forme. La rotation centripède du vortex tire vers l’intérieur et vers l’éther contre-spatial du point zéro. Peu importe où quelque chose se trouve ou ne se trouve pas. Là où il y a forme, il y a masse. Là où il n’y en a pas, il n’y a que le champ diélectrique éthérique du point zéro et sa médiation de pression diélectrique.
La forme des particules de masse est basée sur =
- La polarisation
- La compression
- Et la configuration de la dynamique du champ de l’hypertore
- Ainsi que sur les expressions et les interactions de champ proportionnées
Le couplage et le découplage induits des expressions de champ torique sont tous une question de flux se manifestant à partir du vortex torique. Les médiations de pression superimbriquées attirent des flux similaires et repoussent les contre-flux. Tandis que les potentiels de champ diélectrique se couplent et se découplent pour créer une monnaie électrique.
La création s’étend généralement vers l’extérieur et vers l’intérieur. Elle possède un angle de rapport PHI hélicoïdal continu de 137,50776 ° ~ degrés, à partir du point zéro. Créant ainsi une symétrie de super-nidification parfaite et une supraconductivité le long des voies des porteurs électriques primaires. La projection du champ torique est l’expansion du point de création primaire dans l’espace volumétrique. Toute manifestation de toute matière est donc le magnétisme, le rayonnement et la perte d’inertie, tandis que l’entropie est en fait une tendance du champ à revenir au champ diélectrique et au contre-espace éthérique inertiel.
À l’intérieur du tore, nous trouverons=
- L’univers visible des voies électro-gravitomagnétiques
- Des superfluides primaires
- Du plasma
- Et des particules de masse
Des Nébuleuses aux nanoparticules, tout est de, et dans le Tore. Toute manifestation émane du contre-espace éthérique du vide infini, et tout gravite dans des flux centripètes qui y retournent.
La matière noire est un condensat magnéto-diélectrique suprafluidique et supraconducteur
L’espace ‘vide’ de l’univers sombre est en fait la cohérence des dynamiques de champ giratoire et processionnel de la divergence hyperbolique du ‘magnétisme’. On le nomme également rayonnement du champ diélectrique inertiel du ‘Tore’. Ce « champ vide/zéro infini » contre-spatial invisible est si rempli de toutes les permutations et combinaisons possibles de toutes les interactions qu’il est le superimbrication de toutes les modalités, c’est-à-dire. magnétisme, électricité, diélectricité et même gravité, dans une dynamique de champ de force universelle.
Cette source d’énergie et le vortex du tore s’expriment comme =
- Une oscillation manifeste
- Une précession de force et de mouvement dans le champ magnétique
L’expression pleinement évoluée est un éventail infini de qualités et d’interactions de champs de perturbations spatiales électromagnétiques intimement liées à travers et au champ dialectrique du plan d’inertie de toute projection de source.
Toutes les projections ont un moment spatial angulaire et invoquent ainsi une force réciproque, accélération du retour centripète convergent vers le contre-espace inertiel, qui dénote ainsi la gravité et la gravitation diélectromagnétique de la dynamique de champ alternatif et précessionnel.
Ainsi, le tore étant la « forme » réelle de l’univers, ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Nous retrouverons donc les principes fondamentaux des interactions champ magnétique toroïdal / plan d’inertie comme dynamique racine en tout. Qu’il soit superfluidique l’éther, le plasmatter, les particules de masse et tous les homologues et conglomérats déphasés.
Les principes de l’interaction hyper champ toroïdale-inertielle sont la clé de la conception actuelle et future du cœur de l’énergie de fusion. Cette conception de noyau de fusion remplacera éventuellement la technologie de noyau de fission nucléaire.